Les tueurs

Chapitre 1: Knos

L'homme courait, courait de toutes ses forces. De la sueur ruisselait de son front jusqu'à son menton d'où elle tombait sur le sol pour se disloquer en petite gouttelette. L'homme était assez petit avec un pantalon et un débardeur noir. Il portait une ceinture avec un magnifique fourreau de bambou et des émeraudes incrustés à l'intérieur. Il avait les yeux bleus et les cheveux violets. Son visage était assez fin tout comme son gabarit. Il regarda derrière lui pour savoir si son poursuivant était toujours là. Soudain il s'arrêta et et fit un demi-tour d'un seul bond pour observer les alentours. Un énorme sourire apparu sur son visage, un sourire sadique et d'amusement en même temps. Une forme était arrivé dans la pénombre, une forme imposante. La chose s'avança doucement avec sureté jusqu'à être visible. C'était un monstre de forme humanoïde, elle était grande de 2 mètre 50 à 3 mètre, un peu bossu et d'une peau très sombre. Elle avait des cornes aux joues partant vers le bas, une longue queue fine placé au milieu du dos et d'étroites griffes à la place des doigts. L'humanoïde s'avança vers le jeune homme et commença à parler d'une voix particulièrement douce:

-Ah ah ah! Knos l'invisible l'un des 10 tueurs du corps s'enfuit devant.

Knos releva lentement la tête vers le monstre et répondit avec sureté et un petit rictus au coin de la bouche:

-Quoi?! M'enfuir? Mais tu rigoles, si tu croyais que j'aurais peur d'un monstre pitoyable classé 526 sur l'échelle de la terreur tu te trompe! Je voulais juste m'amuser un peu avant de te foutre la raclée de ta vie. Moi avoir peur d'un meurnoc, l'un des monstre les plus nul qui soit. Ahahah! laisse moi rire.

Knos ria avec vigueur quand soudain le meurnoc en colère fonça vers le jeune tueur mais avant que le monstre ne l'atteigne, Knos avait disparu. Une voix venant de derrière le meurnoc rigola et dis:

- Sais-tu pourquoi me surnomme-t-on "l'invisible"? Tout simplement parce que comme tout les tueurs j'ai un pouvoir...

Avant que Knos n'eut finit sa phrase le meurnoc impatient et surprit lui coupa la parole:

-Oui et ton pouvoir est de te rendre invisible. Ça j'avais compris je ne suis quand même pas débile.

Soudain une chose bizarre se passa les deux bras du monstre se coupèrent et tombèrent sur le béton pour laisser place à une rivière de sang vert. L'épée de Knos avait été tiré de son fourreau et était maintenant dans les mains de son possesseur. Le jeune tueur reprit la parole avec un regard encore sadique à vous coupez le souffle:

-Ne me coupe pas dans mon élan s'il te plaît sinon je te ferai souffrir avant de te tuer. Vu que je suis très gentil je vais quand même te révéler la capacité de mon pouvoir. J'ai le pouvoir d'être aussi rapide que la vitesse de la lumière ce qui me rend invisible quand je cours à pleine vitesse. Comme dans tous les pouvoirs il y a bien sur une ou plusieurs faiblesses, dans mon pouvoir il y a deux faiblesses. Les faiblesse de mon pouvoir sont que je me fatigue très vite et c'est pour cela que je fini mes adversaires le plus rapidement possible et la deuxième faiblesse c'est que je n'ai pratiquement aucune force c'est d'ailleurs pour cela que je porte toujours mon épée avec moi. Bon les explications sont terminées maintenant tu vas mourir.

Knos brandit son épée et en moins d'une seconde Knos nettoyait son épée couverte de sang vert tel que le meurnoc n'eut juste le temps de lever le reste de ses bras. La tête du meurnoc se sépara horizontalement pour finalement tomber par terre. Knos exténué de ses efforts s'assit par terre, sortit un sandwich d'un sac et le mangea tout en pensant:

-Ah fais #@+* à chaque fois c'est pareil je joue trop et je me retrouve incapable de me relever pendant 1 heure. Heureusement que j'avais prévu ça et que j'avais pris mes mots croisés.

Knos sortit un magazine avec des mots croisés et un crayon à papier. Après cette longue heure d'attente Knos se releva et se dit à lui même:

-Bien ma mission est terminée je vais rentrer à la base

Chapitre 2: Au lycée

Le lendemain matin au lycée De Gaulle, le jour de la rentrée était calme... enfin presque:

-ADRIEN!!! Ici, on est ici.

Le jeune homme brun avançait tranquillement vers le son strident qui ressemblait à son nom à travers de nombreux élèves heureux de retrouver leurs amis. Il arriva devant deux jeunes et jolies filles. L'une d'elle était rousse avec des tache de rousseur et des yeux d'un vert émeraude éclatant. Elle était plus petite que la moyenne et avec une poitrine assez volumineuse, un visage ravi était affiché sur sa petite tête. L'autre était plutôt normale, elle était brune avec de très beaux yeux marrons. La jeune fille était assez grande pour son âge et avais de jolis petites seins ronds. Cette jeune fille affichait plutôt un visage sinistre au contraire de son amie. Adrien se frottant la tête dit à sa camarade rousse:

-Bah dis donc Hélène t'es bien jovial pour une rentrée.

Hélène attrapa ses deux amis par le cou et répliqua:

-Evidemment que je suis heureuse! C'est notre première année de lycée et en plus on est tous les trois dans la même classe.

Adrien sourit et demanda à l'autre jeune fille en se frottant le cou:

-Et toi, Elise, toujours aussi emmerder par la rentrée des cours?

Elise bailla et répondit avec que très peu de conviction:

-Qu'est-ce-que tu veux? Il y a des choses dans ce bas monde qui ne changeront jamais.

Adrien et Hélène rigolèrent un peu juste avant que la sonnerie ne tonne. Les trois amis rejoignirent leur classe en vitesse tout en s'imaginant qui pourrait bien être leur professeur principal. Ils arrivèrent à la salle 304 et s'assirent au milieu de la classe, puis prof principale entra, Mme Defond, un vieille pot qui détestait les élèves. Après une bonne heure où la prof principale exposa comment se passerai l'année, Hélène murmura:

-Ah! C'est vraiment la galère les cours, ça fais à peine une heure et j'en ai déjà marre. Et en plus il reste trois heures avec la vieille.

Adrien rigola discrètement et répondit à la jeune fille:

-Tiens donc tu as perdu ta joie de la rentrée...

Hélène un peu vexée ronchonna:

-Oh ça va! De toute façon...

Elle n'avait pas fini sa phrase quand d'un coup la porte vola de l'autre côté de la pièce. Un... une chose entra dans la classe. Cette chose avait la même forme qu'un énorme loup mais semblait plus... humain. Avec son énorme gueule, il propulsa une boule violette et visqueuse en direction de Mme Defond. Adrien courra de toutes ses forces et réussit à pousser la vieille femme qui tomba sur le sol. La boule visqueuse n'ayant point atteint sa cible fonça sur le mur et le pulvérisa avec grande violence. Le monstre regarda autour de lui puis fixa Adrien que venait de sauver son professeur principale. La monstre sourit et dit avec amusement:

-Oh! Voila qui est intéressant, Morne le puissant qui suit des cours!! Tu étais trop bêtes donc ils ont décidé de te remettre à l'école. Ahahahah!

Toute la classe était pétrifiée et fixait Adrien et le monstre au même titre de surprise. Adrien regardait le monstre et répondit aux provocations en enfilant des gants:

-Tu sais très bien pourquoi je suis ici surement pour la même raison que toi. Seul nos objectifs sont différents. Bon ben vu que même un mirnasse me reconnait dans ce corps différent, autant enlever cette illusion pitoyable.

Morne appuya sur un bouton de sa montre et son apparence changea, de brun il passa à blond, et de 1 mètre 86 il passa à 1 mètre 94. Après cette petite transformation, le jeune homme reprit la parole:

-Bon je suppose que tu connais le déroulement de cette histoire et la fin. Je vais te tuer...

Morne avança lentement vers le mirnasse avec sureté et détermination. Le monstre envoya rapidement une autre de ses boule visqueuse mais Morne n'eut aucun mal à l'arrêter avec sa main gantelé. Il continua d'avancer tout en fixant le monstre. Le mirnasse n'avait pas peur parce que dès que le jeune tueur avait prononcé sa mort il avait compris qu'il n'en ressortirait pas. Morne arriva devant le mirnasse qui essaya de l'avoir avec un coup de queue mais rien n'y fit, Morne attrapa la queue de ses bras puissants puis pour finir lui donna un coup de poing en plein milieu du front ce qui explosa littéralement la tête du montre. Après avoir tuer le monstre Morne en leva rapidement ses gants puis les remit dans son sac. En mettant ses gants dans sa sacoche d'une main, il utilisa l'autre pour sortir un téléphone portable de sa poche. De ses gros doigts, il appuya sur une touche ce qui composa directement le numéro. Une fois l'attente fini, tout le monde ressenti sa colère:

-LA VACHE! MAIS VOUS AVEZ QUOI DANS LE CRANE! Un mirnasse a réussi à atteindre la classe. Bien qu'il ne soit que 522 ème sur l'échelle, un humain normal n'aurait pas pu l'arrêter. Envoyez des effaceurs tout de suite. Je pense que le moment est venu de parler à nos prochaines tueuses du corps.

Après avoir raccrocher il se dirigea vers Hélène et Elise pour les empoigner et les sortir de la salle. Toute la classe restait choqué par ce qu'elle venait de voir et ne bougeait pratiquement plus. Soudain des hommes entrèrent à leur tour et se dirigea cher Adrien, enfin Morne. Morne hurla aux hommes d'un ton autoritaire et connaisseur:

-Bah dis donc vous en avez mis du temps. Bon allez au boulot. Effacer la mémoire de toutes les personnes présentent ici sauf ces deux-là que je me conserve. Et puis nettoyer moi ce sang visqueux par terre ça fait un peu gore.

Morne continua vers la sortie de a classe quand finalement il se retourna et et parla à un des effaceur:

-Ah oui j'ai presque oublier. Tiens et je les veux propre demain dans ma chambre compris?

Sans attendre la réponse de l'homme qui semblait avoir la trentaine, il se retourna et sortit de la classe avec les deux jeunes filles qui se demandaient ce qui se passait. Morne les plaça devant lui avant de dire assez vite:

"Bien je sais que vous comprenez que dalle à ce qui se passe mais il faut se dépêcher si les monstres vous on déjà retrouver. Bon alors je vais faire vite un topo: je ne m'appelle pas Adrien Mouchit, je n'ai pas le droit de divulguer mon vrai nom donc mon surnom est Morne. Ensuite passons à un peu plus grand que moi, le monde. Un peu comme dans un mauvais film, le monde est dans une guerre perpétuel entre d'une part les différents tueurs qui essayent de préserver l'innocence des humains normaux et de l'autre côté de la guerre les monstres qui essayent de détruire les humains afin de régner sur le monde. Les choses que nous appelons "monstres" sont apparues en même temps que les humains, en réalité ils étaient pratiquement des humains mais leur ADN se sont vite différenciés de ceux des humains tout en changeant leur apparence physique. Euh... jusque là vous me suivez?"

Les deux jeunes filles subjuguer par tant de révélations ne pouvant parler, elles bougèrent leur tête de bas en haut pour faire signe qu'elles avaient intégré les révélations sur le monde mais restaient quand même septique sur ce fait donc Morne reprit de plus bel:

"Ensuite, les personnes qui sont entrées dans cette pièces tout à l'heure, nous les appelons les effaceurs. Leur pouvoir est d'effacer la mémoire des gens, un peu comme dans "Men in Black". Ces personnes s'occupent de tout effacer après une attaque de monstre pour que rien ne puisse paraitre aux humains normaux. Bon maintenant un peu plus compliqué, parlons des Ordres des tueurs... Il a en tout quatre Ordres: le premier est "les 10 tueurs du corps" cette ordre comporte les tueurs avec des pouvoirs physiques comme moi qui a une force exceptionnelle, ensuite vient "les 8 tueurs de l'esprit" leurs pouvoirs contrairement à l'ordre d'avant sont basé sur l'esprit comme par exemple lire dans les pensées des gens.. Après il y a "les 5 tueurs des éléments" chacun d'eux contrôle un élément: l'eau, le feu, la terre, l'air et le plus puissant l'électricité. Et enfin "les 22 tueurs de la volonté" eux sont un peu spécial, ils n'ont aucun pouvoir mais ont réussi à résister aux effaceurs ce qui est déjà un pouvoir en lui même. Vous êtes toujours avec moi?"

Hélène fut la première à prendre la parole bien que encore sous le choque elle posa une question:

"Il y a une chose qui me trouble dans ce que vous venez de dire enfin pratiquement tout me trouble mais une chose m'a paru bizarre, pourquoi y a-t-il des nombres avant tueurs? comme par exemple "les 22 tueurs de la volonté"

Morne eu un petit rictus au coin des lèvres comme pour dire qu'il s'attendait à cette question et répondit à la jeune fille calmement:

"Très bonne question Hélène. Et bien en fait nous avons remarqué qu'il y avait tout le temps, le même nombre de personne avec ces pouvoirs et nous avons supposé que à chaque fois qu'un tueur meurt son âme transfère ses pouvoirs à une personne digne de confiance...mais enfin c'est qu'une supposition. Bien maintenant que le principal est di allons à la base sinon un autre monstre pourrait attaquer l'école"

Après Hélène ce fut le tour de Elise de parler avec désappointement toujours pas remis des révélations qu'elle venait d'apprendre:

"Et où allez-vous nous emmener exactement? Parce que "la base" ça nous dis pas grand chose"

Le jeune tueur répondit lentement avec un air assez désespéré:

"Je n'est pas le droit de vous le dire vous verrez bien quand on y sera... et puis arrêtez de me vouvoyer ça me stress à mort, on se connait maintenant..."

Chapitre trois: L'histoire des tueurs

Les deux jeunes filles avait suivie Morne jusqu'à un grand bâtiment situé en plein cœur de la ville. Morne se posta devant puis se tourna vers les jeunes lycéennes pour leur dire d'un air ravi:

"Voila nous sommes arrivés!"

Hélène regarda le bâtiment et dit en rigolant un peu:

"Et ben dis donc c'est discret pour un quartier général..."

Morne leur sourit et répondit aux "provocations" d'Hélène en disant simplement:

"Au lieu de dire des choses qui servent à rien, venez près de moi"

Les jeunes filles s'exécutèrent et vinrent près de Morne, Hélène semblait ne croire en aucune des affirmations de Morne et ne désirait qu'une chose rentré chez elle après que le "malade mental" l'ai relâché, Elise semblait croire au dire de Morne et donc restait passive en observant chaque geste de son ex-ami. Morne enleva la montre qui lui avait permis de se dissimuler parmi les élèves et la remplaça par un bracelet argenté possédant quelques boutons en formes de pierres précieuses. Il appuya sur une émeraude et le sol sous les pieds des jeunes gens s'enfonça dans le béton, une fois que les trois camarades furent assez enfoncés dans le sol un autre couche remplaça celle qui venait de disparaitre avec eux. La descente dura encore environ deux minutes, des lumières s'étaient allumées entre temps sur le mur. Soudain la plaque se stoppa net et une énorme porte était apparue devant leurs yeux. Morne ouvrit la porta et les deux jeunes filles furent subjuguées par ce qu'elles venaient de voir. Une salle gigantesque, rempli de personnes travaillant sur des ordinateurs et répondant au téléphone, était présente, là, 5 mètres sous terre, 5 mètres sous la vie des "humains normaux" comme Morne disait si bien, Morne avança en direction d'une porte avec écrit "Bibliothèque des tueurs". Le jeune homme ouvrit la porte et dit avec un peu d'ennui:

"Bon attendez moi la j'ai quelques trucs à régler avant que je vous présente à votre maître"

Tout de suite Hélène, qui finalement semblait croire de plus en plus à l'histoire de Morne, répondit avec énervement:

"Notre maitre?! Mais de quoi est ce que vous parlez?"

Malheureusement, Morne ne reteint pas les paroles de sa cher amie et s'en alla sans dire un mot. Elise avança vers l'autre jeune fille pour lui demander de se calmer et de plutôt essayer de se renseigner en regardant les manuscrit présent dans cette pièce, la jeune fille acquiesça et commença et regarder les armoires en observant les titres pour voir s'il n'y en avait pas un qui expliquerait quelque chose à ce bordel. Les deux jeunes filles parcoururent la bibliothèque des yeux puis décidèrent de prendre un énorme livre avec marquer dessus "L'arrivée des Tueurs dans l'Histoire", Elise commença à le lire à haute voix:

"24 Janvier 1053: La conduite étrange des monstres
Aujourd'hui, les monstres ont commencé à agir bizarrement. Beaucoup de meurnoc et de firnum sont allés dans des bibliothèques et ont brûlé les archives sans aucune raison.

03 Février 1053: La situation empire
La situation se dégrade de jour en jour, nous ne voyons plus les monstres, ils se sont surement cachés dans des grottes. Plusieurs meurtres sont apparus en même temps que la disparition des monstres. Les soldats chargés de l'affaire affirment que c'est surement des loups mais je suis sur qu'ils mentent pour protéger l'innocence des ignorants. Ma femme vient de m'appeler pour manger je réécrirais quand j'aurai plus d'informations.

20 Février 1053: Une révélation importante
Les meurtres se produisent de plus en plus souvent. Un de mes anciens amis soldats m'a révélé que la plus part des meurtres étaient en effet comme je le pensais causés par les monstres mais qu'une autre partie des meurtres étaient engendrés par l'État afin de protéger des informations secrètes. J'ai décidé donc de trouver ce fameux secret étant un des scientifiques du château cela sera facile.

25 mars 1053: Une mort tragique

Je ne sais plus quoi faire... J'ai du aller trop loin dans mes recherches du fameux secret. Ma femme a été tué ce matin et un mot m'a été envoyé. Cette lettre me disait d'arrêter de fouiller. Ils ne m'ont pas tué directement parce qu'ils ont surement encore besoin de moi. Je ne sais pas ce que je vais faire, je ne peux pas abandonner si près du but. S'ils ont assassiné ma femme c'est que j'approche de quelque chose. C'est décidé je continu.

09 mai 1053: Une rencontre inattendu

Aujourd'hui un jeune homme, d'environ 17 ans, s'appelant Marc, est venu me voir et m'a montré une chose complètement incroyable, il a porté ma table pour manger sans la toucher. En voyant cela je n'ai pu m'empêcher de faire de lui mon disciple afin qu'il m'explique comment il fait cela et pour que je puisse transmettre mes connaissances à quelqu'un. J'ai pris autre décision, j'arrête mes recherches sur le secret tant que j'instruirai mon jeune apprenti.

26 janvier 1054: Des progrès très impressionnant

Je n'ai pas eu vraiment le temps d'écrire dans mon journal à cause de l'enseignement de Marc qui me prend beaucoup de temps. Il a fait des progrès surprenants pendant cette petite année. Maintenant grâce à cette entrainement, il peut soulever toute l'eau d'un étang sans se fatiguer. Et même au point de vue scientifique, il arrive à résoudre des problèmes que même moi je n'arrive pas à résoudre. Je pense qu'il est temps qu'il s'en aille et construise sa vie loin de moi, je ne suis plus d'aucune utilité sur cette terre, autant utilisé le peu de temps qu'il me reste pour trouver ce secret qui me trotte dans la tête depuis un an.

05 juillet 1054: Point stagnant et bonne nouvelle

Mes recherches n'ont pas du tout avancer j'ai l'impression qu'ils ont profité de mon année de repos pour cacher encore mieux leur secret. J'ai aussi reçu une lettre de mon jeune Marc, me disant qu'il avait réussi à trouver d'autre personne comme lui avec des pouvoirs différents et que s'ils ont été envoyé sur cette terre c'est surement pour faire quelque chose de bien. Leur but va être maintenant d'essayer de tuer les monstre tout en évitant que les humains n'y soient mêlés. Comme je suis fier de lui."

Soudain, à la ligne d'après, l'écriture devint tremblante comme si celui qui l'avait écrit avait peur de quelque chose et se dépêchait:

"15 septembre 1054: La peur m'envahit

J'ai cherché bien trop loin, je n'aurais jamais dû commencer ces recherches. Ce secrets est si terrible, cette révélation si grosse que même maintenant je n'y crois pas, non je ne veux pas y croire. l'État a"

Tout le reste de la feuille était blanche, il voulait tourner la page afin de regarder la suite de ce livre mais la porte de la bibliothèque s'ouvrit doucement et trois hommes entrèrent dont Morne, un vieillard un peu courbé et un homme avec des affaires noirs et un fourreau à sa ceinture...

Chapitre quatre: La rencontre du maître et la première mission.

Morne rejoignit les jeunes filles et se retourna vers les deux autres hommes présents dans la salle. Le vieil homme avait un air assez sympathique et bienveillant, il était complètement dégarni du cuir chevelu. Il possédait une grande canne avec ses deux mains posées sur le haut, il avait pour habits juste une longue robe grisâtre et scintillante et était courbé à cause de sa vieillesse. L'autre homme était assez jeune, par rapport à Morne en tout cas, il devait avoir entre 20 à 25 ans alors que Morne devait avoir dans les 40 ans. Il n'avait pas un air sympathique mais pas non plus non-chaland, en fait il avait l'air indifférent.

Soudain, le jeune homme regarda les deux jeunes filles plantées là devant eux, se gratta un peu la tête et eu un petit sourire au coin des lèvres. Puis Morne prit la parole et fit les présentations:

"Bien tout le monde, alors voici Hélène et Elise. Elise, Hélène vieil homme là, c'est Frosone, il s'occupe de tout ici. C'est lui qui reçoit les infos et qui nous donne les ordres en fonction. C'était un brillant général quand il travaillait à l'armée enfin bref. Et là, le nain prétentieux, c'est Knos, il sera votre maître jusqu'à ce qu'il pense que vous soyez prête à travailler toute seule. Vous avez beaucoup de chance, il a été découvert à 5 ans tellement il était doué"

Hélène réagit presque immédiatement d'ailleurs un peu comme une gamine ne voulant pas quitter sa maman pour une nourrice:

"Quoi? C'est pas Morne notre maître? Pourquoi?"

Frosone fit un léger signe de la main pour dire à Morne de lui laisser répondre:

"Sache, petite, que Morne doit déjà finir l'enseignement d'un autre tueur et cela lui a pris pas mal de temps de vous surveiller pendant tout ce temps. Et autre chose, Knos vient d'être accepté en temps que apte à avoir des élèves"

Hélène eu l'air un peu déçu mais ne répliqua pas. Knos s'avança pour enfin prendre la parole et briser ce petit silence survenu:

"Maintenant que les présentations sont faites, allez vous reposer on commencera la mission demain"

Il toqua sur la porte et une nouvelle homme entra. Cet homme dirigea les deux adolescentes jusqu'à leur chambre. Une pièce pratiquement vide avec pour seul meuble, une table avec deux chaises et deux lits une place. Les deux jeunes filles se couchèrent tout de suite sans se dire un mot. Le lendemain matin, Elise se leva la première, elle regarda autour d'elle et compris que ce qu'elle avait vécu la veille n'était pas un rêve ce qui se fit ressentir par un énorme soupir. Deux minutes plus tard, Hélène se réveilla et regarda son amie. Elles commencèrent à discuter de tout et de rien entre autre que Elise trouvait Knos assez mignon et qu'il faisait peur à Hélène. Une petite heure se passa, quand finalement Knos entra dans la chambre, leur lança des affaires et dit d'un ton autoritaire:

"Voila des affaires de rechanges, préparez-vous et déjeuner, je reviens dans une heure"

Une autre personne déposa un plateau sur le lit et ils s'en allèrent tout les deux en fermant délicatement la porte.

ps: je n'ai pas fini je continurai quand je pourrai